Woodkid se pose en grand chef d’orchestre d’une pop symphonique déchirante, organique, parfois même tribale grâce à sa voix mélancolique et puissante.

Récemment récompensé aux Victoires de la musique pour l’album de musique urbaine de l’année, le talent d’Oxmo Puccino n’est plus à démontrer. Son écriture fondée sur les métaphores et les phrases chocs, lui a valu le surnom de « Black Jacques Brel ».

Tout en langueurs allusives et montées progressives, la musique de Rone invite doucement mais sûrement à la transe. 

Insaisissable, protéiforme, reposant sur une instrumentation hybride et foisonnante, Do Make Say Think propose une expérience live hors des formats usuels du rock...

Dans des textes directs, intelligents, et souvent salaces, Sallie Ford malmène les notions traditionnelles de genres, dans tous les sens du terme. “Il est temps qu’une fille infiltre le monde masculin du rock’n’roll et le chope par les couilles.” On est prévenus !

Amon Tobin, dj-producteur né au Brésil, est un véritable manipulateur de son. Son style fait d’influences jazz, hip hop et drum’n’bass séduit les initiés d’électro. Two Fingers est l’alter-ego musical d’Amon Tobin, issu de sa collaboration avec le producteur Joe Chapman.

De la pop attrape-coeur, des mélodies percutantes, une chanteuse furibonde, des choeurs radieux et une joie de vivre réjouissante, le quintet est une machine à hymnes destinés à être scandés à l’unisson !

Sexy Sushi c’est l’art de combiner les sons d’une manière agréable à l’oreille. Beats monstrueux, mélodies lo-fi, séquenceurs enragés : les lives de Sexy Sushi sont des expériences à part.

BRNS (indie rock) 

Les Belges de BRNS proposent une musique qui monte en intensité au fil des secondes et se perd dans d’étranges méandres...

Tête d’angelot, chant séraphique, sensibilité à fleur de peau… La plus jolie chose qui soit arrivée à la pop irlandaise depuis Divine Comedy s’appelle Villagers.

Les six garçons des Von Pariahs sont de véritables petits-enfants du rock, issus d’une génération à qui la Toile a permis d’ingurgiter et de digérer 60 ans de rock’n’roll et d’expérimentations musicales …

Un univers sonique d’une beauté troublante, entre garage rugueux et noisy‐pop déviante, JC Satan propose une musique décomplexée qui explose les canons de la musique garage.

La musique de Piers Faccini ne passe jamais en force. Elle suggère, frôle, évoque sans insister, à tel point que l’on ne sait plus si ce sont la joie ou la peine qui ont provoqué nos larmes inattendues.