Derrière ce nom étonnant, se cache un jeune musicien nantais en cagoule jouant de la batterie d'une façon très particulière. Ce jeune artiste, d'esprit beatnik, prétend rendre hommage à un artiste majeur de la scène noise de Lyon : Duracell ! On connaît la célèbre marque de piles et son non moins célèbre lapin publicitaire adepte de la caisse claire, mais ce groupe de la patrie de Guignol ? ! Seule certitude, ce jeune musicien est de nature fantasque. Il joue, de façon déjantée, avec une batterie assez minimaliste sur laquelle il place des capteurs qui lui permettent de jouer des airs électro plutôt cheap à 8 bits. Ainsi, il joue les hits musicaux des vieux jeux vidéo de la Sega Master System ou encore de la Commodore 64. Le temps d'un concert, les vieux accrocs aux jeux vidéo se souviennent ainsi de leur adolescence boutonneuse passée devant ces vieilles consoles, devenues aujourd'hui presque préhistoriques. Selon son humeur et le feeling du public notre jeune batteur masqué joue différemment et toujours avec un esprit des plus ludiques, ces musiques de jeux vidéo.

Adrenalin, un groupe anglophone issu de speed rock et de punk rock mélodique à la recherche de vitesse de puissance. De la musique à base des aléas de la vie mais aussi de zombies et de monstres et autres phénomènes obscurs. 

Énergie électrique et évasions mélancoliques désabusées caractérisent le son de ce groupe de quatre nantais. Phoenix musical sorti tout droit des cendres encore brûlantes des "Raides Moleskines", Kasablanka mêle sa "French-Touch" lyrique à l'influence acide du rock Atlantique.