Le groupe pratique un krautrock synthétique-hypnotique, qui frôle les barrières du monde de la pop, sans tomber dans le sucré. Comme une vieille cylindrée américaine sous un nuage de fumée, K-X-P bouscule, dérange et ne s’arrête pas. Après le succès de leur premier album et son hymne ‘18 hours (of love)’ remixé par Optimo et playlisté par Ivan Smagghe, le trio revient enfin avec un nouveau disque déjà salué par Mojo, Pitchfork, Spin, The Guardian, Uncut, la BBC et Magic...

« Les oncles néerlandais semblent bien plus riches que les oncles d’Amérique, et ont eux le mérite d’exister, et d’exister joliment : ces Mancuniens sont les impressionnants orfèvres d’une pop aussi classique que tournée vers le futur. Comprendre : des morceaux montés sur pneumatiques et dorés comme crésus, aussi exaltants que ceux de Two Door Cinema Club, allant chercher leurs soleils radieux autant chez Phoenix que chez XTC, chez les Smiths ou dans les travaux les plus Stevereichiens de Sufjan Stevens, chez les maîtres du psychédélisme britannique des 70s que dans un avenir pop qu’ils redessinent avec grâce. C’est excitant et passionnant : la tête et les jambes, en somme, seront ravies. » (source : Espace B) 

Par le choix de sa formation atypique violon - basse - batterie, NICKEL PRESSING affirme un son rugueux et coloré, teinté dʼélectronique. De 2008 à 2010, le groupe parcourt la France en ouverture de James Chance, We Have Band ou encore The Chap, qui leur apportent un soutien inconditionnel. En 2010, les lyonnais rejoignent Gablé au sein du label anglais LoAF. Ils sortent un EP, lancent une campagne de refonte des tubes de l’été et sont sélectionnés sur la prestigieuse compilation Local Heroes célébrant les 10 ans des Nuits Sonores à Lyon. Une gestation épique, qui débouche sur un nouvel Ep "Who decides?", à paraître en avril 2013. Au menu : des cocktails, chargés et multicolores…