Bienvenue sur le site de Prun'. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Ok
Cover

Chargement...

¯\_(ツ)_/¯

Oxmo Puccino : « Pichenette de hip-hop traditionnel »

Gratifié ce week end d'une seconde victoire de la musique pour le « meilleur album de musiques urbaines », Oxmo Puccino n'a définitivement plus rien à prouver tant dans le monde du rap que dans la chanson française.


Bien qu'il considère que l'appellation "musique urbaine", n'appartient qu'aux personnes qui l'ont inventée, il est l'un des exemples les plus probants, loin devant Mc Solaar, de l'intégration progressive qu'a connu le rap français dans les champs de la culture canonique. 


Lors de son récent passage au Stéréolux de Nantes en décembre dernier, Prun' lui a presque fait sauter son repas de midi pour une entrevue de plus d'une heure pendant laquelle il nous a parlé de sa carrière mais aussi de la trajectoire du rap vers le grand public. 


Nous avons également discuté de sa "voix de miel" et de sa plume, légendaires depuis ses premiers pas dans le rap. 

Riche en paradoxes (le Sucre pimenté, Cactus de Sibérie, L'arme de Paix, Mourir mille fois...) le « Black Jacques Brel » revient sur son dernier album Roi sans carosse. De nos jours, les rois sont plus communs et les causes plus vaines, dans un monde où le brouhaha le fait rapper si calmement tout en multipliant ses inspirations. 

Vous saurez aussi ce qu'il comptait faire de ses fameux storytellings dans lesquels il narrait des scènes de combat dignes des plus grands films de kung fu ou bien les dialogues tout droit issus des classiques du genre films de gangsters. 

Finalement, malgré sa direction vers la chanson française, il entretient son amour pour le rap comme une bougie sur laquelle on évite de souffler. 

Une conversation diffusée dans l'émission Hip Hop Shop.



hip hop / oxmo puccino / nantes / rap / roi sans carosse

Article réalisé par Romain Santa-Maria

Publication : Mardi 12 FéVrier 2013

Illustration : Oxmo Puccino et Romain Santa Maria à l'issue de l'interview

Crédit photo : Corentin Pingeon






Réagir :