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¯\_(ツ)_/¯

Hellfest 2013 : un huitième cru réussi !

Alors que les groupes de l'édition 2014 viennent d'être dévoilés, retour sur l'année 2013 où plus de 112 000 personnes s’étaient données rendez-vous à Clisson pour la huitième édition du Hellfest.

Arbre Hellfest au Hellfest 2013

Un vendredi à l’ancienne !


Alors que les plus courageux s’étaient déjà échauffés et que les premiers cadavres de bouteilles de bières étaient apparus le jeudi soir sous le Métal Corner, c’est aux alentours de 10h30 que ce huitième Hellfest est officiellement lancé ! La foule aux abords annonce déjà la couleur : malgré une affiche quelque peu en dessous de ce que l’on aurait pu attendre, les métalleux sont bien au rendez-vous. 

Quand on regarde les têtes d’affiches de ce vendredi, on se rend compte que les plus anciens sont plutôt mis en avant (non pas qu’ils en aient perdu leur énergie !). 
Mais l’évènement de cette journée est sûrement le premier concert de Def Leppard en France depuis 17 ans (preuve que cela date, je n’étais même pas de ce monde). Néanmoins quelques grosses machines se présentent avant eux sur ces Mainstages avant le grand retour des anglais, notamment Twisted Sister qui réussit une fois de plus à retourner le Hellfest malgré le changement d’horaire de dernière minute avec Whitesnake. 
Les américains assomment le public à coup de « I Wanna Rock » mais surtout grâce à un « We’re Not Gonna Take It » magistral ponctué par de magiques échanges entre Dee Snyder, leader et chanteur du combo, et le public. 

A noter le deuxième passage au Hellfest des suédois d’Europe, juste avant, qui, avec leur fameux «The Final Countdown », avaient bien réchauffé le public. 
Entre temps, les allemands de Kreator passèrent pour marquer le Hellfest à la double grosse caisse, un show qui ravit les fans de thrash métal teuton. 

C’est maintenant David Coverdale, leader de Whitesnake, qui se présente sur scène. Maintes fois remodelé le groupe peut tout de même compter sur le talent de Doug Aldrich, célèbre guitariste ayant notamment côtoyé le grand Ronnie James Dio. Les anglo-saxons nous livrent un set correct mais sans grande saveur, le meilleur moment ayant été l’interprétation de leur tube « Still of the Night ». 

Il est maintenant l’heure d’aller faire un petit tour sur le site du Hellfest quelque peu remodelé en cette année 2013. Un site toujours aussi plaisant avec les magnifiques décorations et notamment une magnifique sculpture en bois gravée du sigle « Kingdom of Muscadet » qui vous emmène tout droit vers la Warzone et, vous l’aurez compris, vers les bars à vin. L’arbre Hellfest est de retour devant l’entrée du festival. A noter, la queue immense qui entoure les points de ventes du marchandising Hellfest tout au long de ses trois jours. 

Il est maintenant temps d’aller admirer le retour de Def Leppard en France. Mais avant, Helloween se produit sur l’autre Mainstage accompagné par deux énormes citrouilles gonflables de part et d’autre de la scène. C’est aux alentours de 23h00 que les anglo-saxons montent sur scène. On remarque tout de suite l’énorme écran géant situé derrière eux. Pour ce concert plus que spécial, ils ont choisi d’interpréter leur album « Hysteria » en entier accompagné des plus gros classiques du groupe comme « Photograph » ou même « Poor Some Sugar on Me ». 
C’est un show de 2 heures que nous offre Def Leppard, ponctué par quelques loupés, comme par exemple un rappel plus qu’hasardeux puisque la moitié du public s’en était allée ainsi que des mini-films retraçant la vie du groupe plus que longs et assez ennuyeux. 
Mais dans l’ensemble Ben Barbaud ne peut qu’être heureux de ce show qui amassa pas mal de monde devant cette Mainstage N°1. Pour les plus courageux, Avantasia se produit juste après et ce pour clôturer cette première journée du Hellfest 2013. Une première journée plutôt bonne malgré le temps quelque peu maussade sur la région nantaise. 

Un samedi plus « mainstream » !


Après un vendredi plutôt chargé dans l’ensemble, le samedi s’annonçait beaucoup plus « grand public ». La preuve étant la présence sur l’affiche de groupes comme ZZ Top ou 3 Doors Down. Le temps s’annonçait aussi plus clément qu’hier. 
Fait intéressant, P.O.D, groupe américain se produisait sur la mainstage 2 à 12h50. On note aussi la présence de Dez Fafara, chanteur du groupe Coal Chamber, présent en 2012 mais avec le groupe DevilDriver. Ensuite c’est 3 Doors Down qui se présente sur scène. Un choix osé de Ben Barbaud puisqu’il s’agit d’un groupe de rock. 
Mais mine de rien un bon nombre de gens restent regarder, curieux de voir ce que cela va donner. Malheureusement au bout de 10 minutes, les trois quarts du public sont partis, soit vers les autres scènes (la Valley, l’Altar, la Warzone et le Temple) soit vers l’autre Mainstage. 

Au bout de 50 minutes, (sûrement pas le concert le plus simple pour ce groupe), c’est au tour de Parkway Drive de venir retourner le Hellfest. Ce groupe est l’élément perturbateur que le public attendait pour se réveiller après 3 Doors Down. Les australiens remontent tout le monde à bloc avec leur phénoménale puissance, notamment sur un très grand « Wild Eyes » que les spectateurs prennent du plaisir à reprendre en cœur. 
C’est donc un public chaud bouillant qui se presse devant l’autre mainstage dès la fin de Parkway Drive afin de pouvoir admirer les très attendus Down (dont vous n’avez pas fini d’entendre parler dans ce report). Emmené par le légendaire Phil Anselmo (ex-chanteur de Pantera) le combo de la Nouvelle-Orléans se présente sur scène pour 50 minutes de « True Metal ». 
Evidemment le groupe ne déçoit personne et la couleur est vite annoncée notamment avec le morceau « Lifer » dédié à Dimebag Darrel (guitariste de Pantera tué en 2004) ainsi que « Ghosts of the Mississippi ». Ce show se déroule particulièrement vite et quelle n’est pas notre surprise quand, lors du dernier morceau, les musiciens de Down sont rejoints par plusieurs personnes dont Jason Newsted, l’ex-bassiste de Metallica, qui doit se produire le dimanche. 

C’est ensuite au tour de A Day to Remember de grimper sur l’autre mainstage. Il est aussi temps d’aller jeter un coup d’œil sous l’énorme chapiteau qui abrite deux scènes : l’Altar et le Temple. Plus orientées black et death métal, elles affichent souvent « complet » et le public déborde souvent des limites du chapiteau. Cependant, il est déjà l’heure de retourner devant les mainstages où Accept commence à jouer. 
Mais malheureusement, ce concert allait vite devenir un calvaire. En effet Accept jouait si fort que même devant l’autre mainstage, il était impossible de s’entendre parler. Le show des Allemands s’est donc transformé en un long moment de brouhaha ponctué par des pauses entre les morceaux qui étaient plus que bienvenues. 
Enfin, après un calvaire d’une heure, c’est avec grand plaisir qu’Accept quitte la scène et laisse place à Papa Roach. C’est un public plus jeune que l’on retrouve devant les californiens qui effectuent leur deuxième passage après celui de 2009. On se rend vite compte que le public présent ne met pas longtemps à bouger au rythme des classiques du groupe que sont « Between Angels and Insects » et autres « Last Resort ». C’est donc un public ravit qui se rend vers l’autre mainstage afin de jeter un coup d’œil à la curiosité du jour qu’est ZZ Top. 

C’est d’ailleurs lors de ce concert que l’on se rend compte que le site du Hellfest atteint vraiment ses limites aujourd’hui. En effet il est presque impossible de faire trois mètres tranquillement lors de ce concert. On apprendra plus tard que le site contenait presque 50.000 personnes en comptant les invités et autres accréditations. Un record pour le Hellfest !
En se baladant on découvre aussi qu’avec la venue de groupes comme ZZ Top, le festival s’est ouvert à un autre type de public. Il est d’ailleurs temps d’aller recharger un peu les batteries avant les shows de Kiss et Korn. Pendant ce temps-là, c’est Bullet For My Valentine qui monte sur l’autre mainstage. Le temps d’atteindre l’espace VIP, le groupe a déjà interprété quelques titres, le temps d’attendre sa commande au bar la moitié du concert est passé. On se rend compte que le site n’est pas fait pour accueillir autant de monde. 

A peine le temps de se reposer donc, que Bullet For My Valentine finit son set et laisse sa place à Kiss. Les américains effectuent leur deuxième passage au Hellfest après 2010. Le public est d’ores et déjà prévenu que le show va être grandiloquent lorsque l’on aperçoit l’araignée de métal montée dans la nuit de vendredi à samedi sur la scène et qui a accompagné les groupes qui jouaient sur la mainstage 1 ce samedi. 
Evidemment c’est avec d’énormes explosions et de la pyrotechnie à souhait que Kiss rentre sur scène, et cela va durer durant l’heure et demi de concert. Les fans du combo sont présents une fois de plus et l’ambiance est au rendez-vous. Les new-yorkais nous jouent leurs plus grands succès comme « Detroit Rock City » ou alors « Rock and Roll All Nite » mais étonnamment pas de «I Was Made for Loving You » qu’ils avaient interprété en 2010. 
Tous les artifices sont là : la tyrolienne, le bazooka, etc… 

Enfin à 00h40, Kiss laisse sa place à Korn, sûrement le groupe le plus attendu du festival après leurs annulations de 2006 et 2007, qui ferme cette journée du samedi. Après une légère intro, le riff de « Blind » retentit. On est donc parti pour le premier concert de Korn au Hellfest. Le plus plaisant étant le retour du guitariste et fondateur du groupe « Head » dans le line-up du groupe.
 Comme prévu le public est présent en masse devant la mainstage et headbang au son des « Dead Bodies Everywhere » et autres « Freak on a Leash ».
Après 1h15 de show intense et furieux, le groupe quitte la scène. Pour avoir entendu les réactions du public, la plupart des fans ont été ravis de ce concert puissant malgré l’interprétation de certains morceaux mi-dubstep, mi-métal. Il est maintenant l’heure d’aller se reposer pour bien attaquer la dernière journée de ce Hellfest 2013.

Un dimanche français !


La première nouvelle de cette journée intervient très tôt. Danzig est déplacé sous la Valley et remplacé par Ghost sur la mainstage 2. Ghost qui fermera donc ce Hellfest 2013. Autre changement, l’annulation de Clutch remplacé par un show spécial de Down. 
Arrivée tardive au festival mais directement pour l’un des groupes les plus attendus de cette journée. Il s’agit de Mass Hysteria et je ne suis visiblement pas le seul à penser cela en voyant la foule compacte qui s’est amassée devant la mainstage 2. Les hostilités commencent par « Positif à Bloc » extrait du dernier album du groupe « L’Armée des Ombres ». 
On comprend directement que, ni le groupe, ni le public, ne sont présents pour se tourner les pouces. Entre leur venue au milieu du public ou encore l’ambiance monstrueuse sur «Contradiction », ce concert dépasse les attentes de tout le monde. Après 45 minutes et en finissant par leur mythique « Furia », le groupe nous quitte déjà. En effet, une heure de « Furia » n’aurait pas été de trop, mais bon, restons « Positif à Bloc ». 

Juste après Mass Hysteria, c’est au tour de Newsted de monter sur scène. Le public ne sait pas trop à quoi s’attendre sachant que l’album de Newsted ne devait sortir que le mois prochain. Beaucoup de spectateurs s’imaginaient déjà regarder une heure de reprise de Metallica, ce qui bien sûr, n’aurait dérangé personne. Il n’en fut rien, puisque nous avons eu le droit qu’à une seule reprise de Metallica. 
Les fans restent donc plutôt calmes devant ce concert et se contentent d’observer et de découvrir ce premier album.

Après 50 minutes, Newsted laisse la place au groupe québécois Voivod (un autre de ces anciens groupes). C’est un concert plaisant que nous proposent les Canadiens, notamment marqué par la présence de Phil Anselmo (oui encore lui !) sur la reprise de la chanson de Pink Floyd « Astronomy Domine », puis par l’arrivée de Jason Newsted pour le dernier morceau du concert. 

Enfin vers 18h30, c’est au tour de nos français de Gojira de prendre d’assaut ce Hellfest 2013. Dès le premier morceau « Explosia » extrait de leur dernier opus, « l’Enfant Sauvage », les landais nous annoncent la couleur et nous font comprendre qu’ils ne sont pas là pour rigoler. S’en suit un « Flying Whales » limite animal mais surtout d’une puissance phénoménale. 
Étonnamment le groupe n’interprète que deux morceaux de son dernier album alors qu’il en joue quatre de l’album « From Mars to Sirius ». Mais évidemment, personne ne s’en plaint. 
Quand on compare cette setlist avec celle du concert à Stéréolux, on se rend compte que le groupe a clairement favorisé des morceaux plus violents au Hellfest. Le chanteur, Joe Duplantier, se permet même de montrer aux anglo-saxons que les français aussi savent faire des « Wall of Death », en invitant le public à se séparer en deux juste avant le morceau « Wisdom Comes ». Le résultat est juste monstrueux et visible dans cette vidéo
En une heure, Gojira a donc réussi à retourner ce Hellfest et de bien belle manière en plus. C’est maintenant au tour de Symphony X de monter sur scène. Mais malheureusement on apprend que Down joue au même moment en remplacement de Clutch. Direction la Valley, pour un « Special Show » de Down accompagné par plusieurs autres musiciens. Arrivé devant la Valley, une foule immense empêche quiconque de rentrer sous le chapiteau. Le concert se déroule dans une ambiance calme et on voit bien que les musiciens prennent du plaisir à se produire dans ces conditions. 
Côté setlist, on retrouve des morceaux de Down, Eyehategod, Corrosion of Conformity, Crowbar et même une reprise de « Walk », mythique chanson de Pantera. Enfin, du côté des invités, on retrouve encore Jason Newsted. Première conclusion de ce Hellfest, Jason Newsted et Phil Anselmo peuvent clairement devenir ambassadeur du festival au vu de leur présence sur cette édition. 

Dès la fin de ce concert, retour devant les mainstages où Symphony X finit juste son set et laisse sa place à Stone Sour, groupe de Corey Taylor et James Root respectivement chanteur et guitariste du groupe Slipknot. Le groupe commence par deux morceaux de leur dernier album «House of Gold and Bones ». Le public est un peu mou devant les américains malgré le très bon contenu de ce concert. Une reprise de la chanson « Children of the Grave » de Black Sabbath est même jouée par le groupe. Malheureusement la suite n’aide pas beaucoup le public à se réveiller. Entre « Bother » et « Through the Glass » le concert perd en intensité et on observe même plusieurs personnes qui vont voir ailleurs malgré quelques très bonnes chansons qui suivent. Au final, c’est sur un gout d’inachevé que le groupe quitte la scène et laisse Lordi prendre le relais. 

La question qui est alors dans les esprits de tous est : bonne ou mauvaise idée ? Au bout de cinq minutes de show, on se dit  que Lordi est le genre de groupe à voir une fois dans sa vie. Mais à la fin du concert, c’est tout le contraire. Même si certains morceaux sont plutôt agréables à écouter, d’autres tombent carrément dans le ridicule. 
Après avoir interprété le titre qui leur avait fait gagner l’Eurovision « Hard Rock Hallelujah », Lordi quitte enfin la scène. 

C’est maintenant au tour de Volbeat de monter sur scène. Les Danois sont tête d’affiche de ce dimanche et ont une heure trente pour démontrer leurs talents à un public plutôt perplexe de les voir jouer si tard. Malgré leur notoriété moindre en France, Volbeat semble posséder une bonne base de fan puisque beaucoup de leurs refrains sont repris en cœur. Malgré un style pas tellement adapté au Hellfest, le groupe fait son travail et l’heure et demi passe plutôt vite. 
A noter le petit hommage à Jeff Hanneman de Slayer au milieu du concert. 

Lorsque les danois quitte la scène il est 00h40 passé et l’heure d’accueillir Ghost, dernier groupe de ce Hellfest 2013. Après une intro pour le moins, funeste, les suédois entament le morceau éponyme de leur second album « Infestissumam ». Ce groupe, créé en 2008 à Linköping, étonne la planète métal de par ses costumes et par le fait que l’on connait ni le visage et ni l’identité de ses membres. Mais mis à part ses costumes, leurs deux albums ont étés acclamés par les critiques et Dave Grohl aurait même joué avec le groupe à plusieurs reprises sans que l’on ne le sache. Le concert se déroule sans encombre pour le groupe qui était censé jouer sous la Valley. 
C’est d’ailleurs leur deuxième passage au Hellfest après celui de 2011, qui était à l’époque leur premier concert en France. Mais revenons-en au Hellfest. Le concert se passe bien et Papa Emeritus II donne de la voix accompagné de ses « Nameless Ghouls ». 
Mais pendant le morceau « Genesis », le son se coupe net. Incompréhension dans le public tandis que les musiciens continuent de jouer, visiblement pas au courant de ce qui se passe. Cependant au bout de 2 minutes, l’entourage du groupe vient à leur secours et les prévient de l’incident qui est aussitôt réparé et nous permet de nous replonger dans le monde mystique de Ghost. Saluons d’ailleurs la présence de Phil Anselmo sur le bord de la scène. 
Après ce léger passage difficile, le groupe entame ce qui pourrait être en quelque sorte l’hymne du groupe « Year Zero ». Véritable chef-d’œuvre, ce morceau fait tout de suite oublier la panne et réchauffe le public plus que sur les rotules après 3 jours de festival. Enfin, après un peu plus d’une heure vingt, Ghost quitte la scène et clôt ce Hellfest 2013 en beauté.

Beaucoup de plus, très peu de moins !


Huitième Hellfest, ce cru 2013 restera sûrement l’un des meilleurs avec l’édition de 2009. Certes l’affiche n’était pas la meilleure (attendez l’année prochaine pour cela) mais tous les groupes, ou presque, nous proposèrent de très bonnes prestations. 
Dernier point non abordé plus haut, la restauration. Malgré la boue présente pendant les deux tiers du festival, le coin restaurant était vraiment bien fait et le nombre de restaurants plus que satisfaisant. 

Quelques couacs sont à signaler quand même. Tout d’abord, l’affluence du samedi. Le site n’était clairement pas adapté à un tel flot de population et chaque déplacement se révélait une épreuve à surmonter. Autres couacs, la queue devant les stands du merchandising Hellfest. Il était clairement impossible d’acheter un tee-shirt sans louper un concert. 
Cependant vous pouviez vous rabattre sur l’Extreme Market où un nombre incalculable de vendeurs vous proposaient l’attirail pour devenir le fan de métal ultime. 
Pour finir, un gros point positif. Les décorations. Une fois de plus, Ben Barbaud et son équipe ont magnifiquement réussi à décorer le site du festival, ce qui donnait une ambiance vraiment sympathique. 


Quelques remerciements avant de conclure ce report du Hellfest 2013. Merci à Ben Barbaud et tout le Hellfest Crew pour l’accueil et à la rédaction du Prun’ pour m’avoir laissé possibilité de réaliser ce report.

Pour plus d’informations ou alors pour vous procurez des places pour l’édition 2014, rendez-vous sur le site officiel du Hellfest.


hellfest

Article réalisé par Corentin Pingeon

Publication : Vendredi 13 DéCembre 2013

Illustration : Arbre Hellfest au Hellfest 2013

Crédit photo : Corentin Pingeon






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